Lecteurs amis, moins amis, ennemis, Critiques ! me voilà encore des histoires avec ce Guignol's livre I ! Ne me jugez point de sitôt ! Attendez un petit peu la suite ! le livre II ! le livre III ! tout s'éclaire ! se développe, s'arrange ! Il vous manque tel quel les 3/4 ! Est-ce une façon ? Il a fallu imprimer vite because les circonstances si graves qu'on ne sait qui vit qui meurt ! Denoël ? vous ? moi ? ... J'étais parti pour 1200 pages ! Rendez-vous compte !
« Oh ! il fait bien de nous prévenir ! nous n'achèterons jamais cette suite ! Quel voleur ! Quel livre raté ! Quel raseur ! Quel guignol ! Quel grossier ! Quel traître ! Quel juif ! »
Tout.
Je sais, je sais, j'ai l'habitude... c'est ma musique !
Je fais chier tout le monde.
Et s'ils l'apprennent au bachot, dans deux cents ans et les Chinois ? Qu'est-ce que vous direz ?
[suite...]
« Oh ! il fait bien de nous prévenir ! nous n'achèterons jamais cette suite ! Quel voleur ! Quel livre raté ! Quel raseur ! Quel guignol ! Quel grossier ! Quel traître ! Quel juif ! »
Tout.
Je sais, je sais, j'ai l'habitude... c'est ma musique !
Je fais chier tout le monde.
Et s'ils l'apprennent au bachot, dans deux cents ans et les Chinois ? Qu'est-ce que vous direz ?
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1 commentaire
| permalienk
| Aller plus loin
mardi 16 mars 2010, 21:38 - ~ Choix : Poême
Dimanche.Vingt et une heure.
Service de réanimation, Claude-Bernard.
Galerie deux, chambre trois.
La petite mère Clémence n'est plus reliée à nous
Que par ces monstrueux appareils
Les respirateurs
Les perfuseurs
Les analyseurs
Machines à vivre ou à mourir...
La petite vieille lutte seule
Avec la souffrance et la mort.
Passent les voitures revenant du week-end, sur le périphérique
Passe le docteur en blouse blanche, attentif et fatigué
Car la petite mère Clémence ne va pas bien
Elle est en train de s'en aller si loin...
Et bat le gros cœur de l'hôpital
Avec toutes ses machines [suite...]
mercredi 24 février 2010, 12:41 - ~ Choix : Zique
Je viens d’en bas dans la vallée
Où monsieur quand on est jeune
[suite...]
samedi 20 février 2010, 10:22 - ~ Choix : Poëme
N’a plus pouvoir dormir tout près toi dans cabane, Sentir l’air parfumé courir sur bouche à toi,
Gagner plaisir qui doux passé mangé banane,
Parfum là semblé feu qui brûler cœur à moi.
Moi vlé z’éveiller toi.
Baï moi baiser si doux, n’oser prend’ li moi-même,
Guetter réveil à toi... longtemps trop moi languir.
Tourné côté cœur moi, rend-li bonheur suprême,
Mirez l’aurore aller qui près toi va pâlir.
Longtemps trop moi languir.
[suite...]
jeudi 18 février 2010, 17:41 - ~ Choix : Web
Un blog à suivre... Enfin, moi du moins je vais le suivre... Je suis tombé dessus par hasard en cherchant des lyrics(?) d'Erik Satie déjà paluchés...mardi 2 février 2010, 07:43 - ~ Choix : Poëme
[...]Étoile qui descends sur la verte colline,
Triste larme d'argent du manteau de la nuit,
Toi que regarde au loin le pâtre qui chemine,
Tandis que pas à pas son long troupeau le suit ;
Étoile, où t'en vas-tu dans cette nuit immense ?
Cherches-tu sur la rive un lit dans les roseaux ?
Où t'en vas-tu si belle, à l'heure du silence,
Tomber comme une perle au sein profond des eaux ?
Ah ! si tu dois mourir, bel astre, et si ta tête
Va dans la vaste mer plonger ses blonds cheveux,
Avant de nous quitter, un seul instant arrête ;
Étoile de l'amour, ne descends pas des cieux !
mardi 26 janvier 2010, 19:15 - ~ Choix : Poême, ~ Choix : Spectacle
De la poësie digne du troisième millénaire, rien à voir avec le triste slam franchouillard, ni avec les vassaux d'Yves Bonnefoy (i.e. qüasi tous les « poètes » publiés en « Francophonie » today - putain voilà que je me mets à balancer...)