mardi 30 août 2011, 21:20 - ~ Choix : Anecdote
Vouloir être remarqué pour sa tenue, quel mauvais goût et dont on est puni.C'est ainsi que Swendenborg, l'illuminé, rencontra (s'il l'en faut croire) un misérable esprit vêtu en ramoneur et fort affligé que les autres ne le voulussent point laisser entrer au ciel, - où sans doute il n'y a point de cheminées. Eh, que ne se mettait-il en ange, comme tout le monde.
Commenter
| permalienk
(Republication) - ~ Choix : Phrase
[...] Il existe un degré de silence passé lequel on frise l'état de mort-vivant, la parole est signe de vie, et c'est pourquoi le fou qui parle est plus près de nous que le non-fou taciturne, qui ne peut ouvrir la bouche.(Republication) - ~ Choix : Poème
Ah, Curnonsky, non plus que l’aube,N’était bien rigolo.
Il regardait le fil de l’eau.
C’était avant les Taube.
Et moi j’apercevais — pourtant
Qu’on fût loin de Cythère —
Un objet singulier. [suite...]
(Republication) - ~ Choix : Poème
Tandis que je peignais ce paysageAu bord du bois des hêtres,
Le gentil prince des noisettes
Vint m'honorer de son passage.
« Prince, lui dis-je, voulez-vous
Que je vous portraiture
[suite...]
(Republication) - ~ Choix : Web
A : La première lettre d'amourAa : Premier cours de géographie
Abaca : Chanvre à part
Abaisser : Mettre bas
Abasourdi : C'est quand on reste coi ? Bouche bée
Abat-jour : Adoucissant pour les ampoules
Abats : Comme les gréco-latinistes, ils comprennent les langues mortes
Abbé : Ecclésiastique bien connu à Naples. Celui des pauvres, c'est l'abbé Pierre. Celui des riches, c'est la B.N.P. (ou autre)
La suite ici !
(Republication) - ~ Choix : Phrase
Je croise des femmes. Tiens, une femme ! Elles me regardent comme si j'étais une vache. Je n'imagine plus qu'une femme puisse me regarder autrement que comme si j'étais une vache. C'est gai.(Republication) - ~ Choix : Spectacle
[suite...]
mercredi 29 juin 2011, 20:50 - ~ Choix : Poëme, ~ Choix : Poême
Jamais je n'ai voulu rien ajouterà l'aspect de ta beauté naturelle
parce qu'elle est si belle en vérité
qu'aucun vers ne peut lutter avec elle.
C'est pourquoi j'ai préféré ne rien dire
tant que ton être démontrait assez
combien la langue est d'un piteux empire
pour dire ta beauté sans déroger.
Du coup tu m'as reproché mon silence
alors que je fais gloire de n'avoir
pas ombré ta beauté d'une insolence
où les autres font leurs désastres voir
car leurs encens ne tiennent pas en face
d'un seul regard émané de ta face.
[suite...]