Né à Venise où son père Lazare de Baïf était ambassadeur. L’un des membres de la Pléiade.
Il avait pour projet de faire réformer l’orthographe (appliquant lui-même sa proposition dans des Étrènes de poézie fransoèze) et aussi la prosodie : s’essayant à des vers mesurés et à des vers « baïfins » (à 15 syllabes, 7+8).