Avocat à Montélimar, il vécut relativement ignoré des milieux littéraires parisiens (cependant Aragon saluait son lyrisme dès 1942.)
Il mourut d’un accident de voiture, laissant la moitié de son œuvre inédite.
Le plus doux poignard (1971) « Il y a des poèmes... »
Alain Borne : Poèmes d´amour, le cherche midi, 2003
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