Né dans une famille de petite bourgeoisie, il fit une carrière de diplomate : consul puis ambassadeur de France.
À 18 ans, il avait retrouvé la foi catholique suite à une « illumination ». Pour faire valoir cette foi en un temps de positivisme, il rama à contre-courant mais avec d’autant plus de passion. Ce fut d’abord dans ses poèmes et ses pièces de théâtre baroques puis, sur la fin, par des écrits d’exégèse biblique.