Les poèmes sont classés à leur date de première publication, sauf si apparaît :
un † à la suite du nom de leur auteur : à la date de son décès,
un * après leur titre : à leur date de composition (ou de début de composition).
Ces données peuvent être approximatives (voire erronées...)
1370 Guillaume de MACHAUT
— « Oncques mon coeur ne sentit... »
— « Je maudis l'heure... »
1392 Othon III de GRANDSON
— « S'il ne vous plaît que j'aille mieux... »
*
— « La grand beauté de vo viaire clair... »
*
1394 Jean FROISSART
— « On doit aimer et priser... »
— « Mon coeur s'ébat... »
— « On doit le temps... »
1400 Eustache DESCHAMPS
— « Vous qui vivez... »
*
— « Or n'est-il fleur... »
*
1430 Christine de PISAN †
— Virelai : « Je chante par couverture »
— « De triste coeur chanter joyeusement... »
1440 Charles d'ORLÉANS
— « Dieu qu'il la fait bon regarder... »
*
— « Jeunes amoureux nouveaux... »
*
1444 Charles d'ORLÉANS
— « À ce jour de Saint Valentin que chacun doit... »
*
1450 Charles d'ORLÉANS
— « Dedans mon livre de pensée... »
*
1451 Michault le Caron, dit TAILLEVENT †
— Ballade : « Ô fols des fols... »
— « Pauvre et vieil qui n'a patience... »
1452 Charles d'ORLÉANS
— « Plus penser que dire... »
*
— « Quand n'ont assez fait dodo... »
*
— « Que nous en faisons... »
*
1456 Charles d'ORLÉANS
— « Fermez-lui l'huis au visage... »
*
1457 Charles d'ORLÉANS
— « Petit mercier, petit panier... »
*
1458 François VILLON
— Ballade des menus propos
*
1461 François VILLON
— « Je plains le temps de ma jeunesse... »
— Ballade des dames du temps jadis
— Ballade pour prier Notre-Dame
— Ballade : « En réalgar, en arsenic rocher... »
— « Item, j'ordonne à Sainte Avoie... »
1462 François VILLON
— L'Épitaphe Villon
*
1465 Pierre MICHAULT †
— « Je suis la Mort de Nature ennemie... »
1475 (ANONYME)
— « L'amour de moi... »
1484 Marcial d'AUVERGNE
— La Danse macabré des femmes
1489 Jean MOLINET
— Épitaphe de Simon Marmion, Peintre
*
1491 Jean MESCHINOT †
— « Ceux qui dussent parler sont muts... »
1498 Jean LEMAIRE DE BELGES
— « Notre âge est bref... »
*
1502 Octavien de SAINT-GELAIS †
— « Ores connais mon premier temps perdu... »
1504 (ANONYME)
— « Gentils galants de France... »
1512 Pierre GRINGORE
— Cri
1524 Clément MAROT
— « Puis que de vous je n'ai autre visage... »
*
1530 Mellin de SAINT-GELAIS
— « Si j'ai du bien, hélas, c'est par mensonge... »
*
— Chanson : « Quand une Dame a un mari... »
*
— D'un présent de Roses
*
— Folie
*
1532 Clément MAROT
— De sa grande amie
— De l'amour du siècle antique
— « D'amours me va tout au rebours... »
1537 Eustorg de BEAULIEU
— De l'ombre de la treille
— À la louange de la forêt
1544 Jean BONAVENTURE DES PERRIERS †
— « Les aveugles et violeurs... »
Charles FONTAINE
— Chant sur la naissance de Jean
*
Clément MAROT †
— Sur quelques mauvaises manières de parler
— « Ne sais combien la haine est dure... »
— « J'ai une lettre entre toutes élite... »
— De soi-même
Maurice SCÈVE
— « Celle beauté, qui embellit le Monde... »
— « Tant je l'aimai... »
— « L'ardent désir... »
— « Le jour passé de ta douce... »
— « Tu es, Miroir... »
— « De toi la douce et fraîche... »
1545 Pernette DU GUILLET †
— « La nuit était pour moi si très-obscure... »
— « Sans connaissance aucune... »
1549 Joachim DU BELLAY
— « Quand la fureur, qui bat les grands coupeaux... »
Marguerite de NAVARRE †
— « J'aime une amie entièrement parfaite... »
Pontus de TYARD
— « Je mesurais pas à pas, et la plaine... »
— « Tu ne m'es pas de tes faveurs avare... »
1550 Pierre de RONSARD
— « Fais rafraîchir mon vin de sorte... »
— « Je suis homme, né pour mourir... »
(ANONYME)
— « La Passion de Jésus-Christ... »
*
1552 Joachim DU BELLAY
— « Non autrement que la Prêtresse folle... »
Pierre de RONSARD
— « Je voudrais bien richement jaunissant... »
— « Voici le bois, que ma sainte Angelette... »
1554 Loys LE CARON
— « Si enfanter une immortelle gloire... »
1555 Jean Antoine de BAÏF
— « Afin que pour jamais... »
Louise LABÉ
— « Baise m'encor, rebaise-moi et baise... »
— « Ne reprenez, Dames, si j'ai aimé... »
1556 Pierre de RONSARD
— « Le printemps n'a point tant de fleurs... »
— « Hé que voulez-vous dire ?... »
1557 Olivier de MAGNY
— « Assieds-toi là, Guyon, et me dis des nouvelles... »
1558 Joachim DU BELLAY
— « Nouveau venu qui cherches Rome en Rome... »
— « Comme le champ semé en verdure foisonne... »
— « Je ne veux point fouiller au sein de la nature... »
— « Las, où est maintenant ce mépris de Fortune... »
— « France, mère des arts, des armes et des lois... »
— « Cependant que Magny suit son grand Avanson... »
— « Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage... »
— « Je me ferai savant en la philosophie... »
— « Tu ne me vois jamais, Pierre, que tu ne die... »
— « Marcher d'un grave pas, et d'un grave sourcil... »
— « Après s'être bâti sur les murs de Carthage... »
1559 Pierre de RONSARD
— Sonnet à M. Forget
1561 Jacques GRÉVIN
— « J'amasse quelquefois... »
*
1562 Maurice SCÈVE
— Au lecteur
1570 Jacques GRÉVIN †
— « Arrivé dedans Rome... »
1571 Théodore Agrippa d'AUBIGNÉ
— « Auprès de ce beau teint, le lys en noir se change... »
Guy LE FÈVRE DE LA BODERIE
— Aux naturalistes et mécréants
1572 Jean Antoine de BAÏF
— Épitaphe
*
Rémy BELLEAU
— « Pendant que votre main docte, gentille et belle... »
— « Tes mains m'ont fait et repétri de chair... »
1573 Philippe DESPORTES
— « Vous n'aimez rien que vous... »
— « Je regrette en pleurant les jours mal employés... »
Étienne JODELLE †
— « J'aime le vert laurier, dont l'hiver ni la glace... »
— « Comme un qui s'est perdu dans la forêt profonde... »
— « Recherche qui voudra cet Amour qui domine... »
1574 Théodore Agrippa d'AUBIGNÉ
— « Quand Jodelle arriva soufflant encor sa peine... »
Adrian de GADOU
— « Si vous voulez savoir le nombre de mes peines... »
1578 Clovis Hesteau de NUYSEMENT
— « Ô Dieux que sens-je en moi, si je ne sens Amour... »
— « Quand le grand oeil du Ciel tournoyant l'horizon... »
Pierre de RONSARD
— « Comme on voit sur la branche au mois de Mai la rose... »
— « Vous me dîtes, Maîtresse, étant à la fenêtre... »
— « Comme une belle fleur assise entre les fleurs... »
— « Afin qu'à tout jamais de siècle en siècle vive... »
— « Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle... »
1579 Madeleine DES ROCHES
— « Pleurant amèrement mon douloureux servage... »
Catherine DES ROCHES
— « Charite l'an se change et vous ne changez pas... »
— « Allons mon pauvre coeur bien loin de la Cité... »
1581 Flaminio de BIRAGUE
— « J'aime si hautement que je n'ose nommer... »
— « Sus, gants, allez couvrir la main gentille et belle... »
— « Ô puissance d'Amour ! deux beaux astres jumeaux... »
1583 Antoine de CHANDIEU
— « Vous Fleuves et Ruisseaux, et vous claires Fontaines... »
— « Arrête, attends, ô Mondain, où cours-tu ?... »
1589 Jean Antoine de BAÏF †
— Psaume CXXI
Christofle de BEAUJEU
— « L'âme qui en secret... »
— « Le soir, au son bruyant... »
— « Belle qui d'un regard... »
1590 Siméon-Guillaume de LA ROQUE
— « Je suis le triste Oiseau de la nuit solitaire... »
1594 Jean-Baptiste CHASSIGNET
— « Assieds-toi sur le bord d'une ondante rivière... »
— « Mortel pense quel est dessous la couverture... »
— « Est-il rien de plus vain qu'un songe mensonger... »
— « À beaucoup de danger est sujette la fleur... »
— « Quelquefois les chevaux vont caparaçonnés... »
— « Quand le fruit est vieilli, la feuille ternissante... »
Jean GODARD
— « À l'heure que Madame en homme se déguise... »
— « Vous qui voulez savoir que c'est que de l'amour... »
1595 François de LOUVENCOURT
— « C'est un valet de coeur (dit-elle en le baisant)... »
Jean de SPONDE †
— « Je meurs, et les soucis qui sortent du martyre... »
— « Mon Dieu, que je voudrais que ma main fût oisive... »
1596 Madeleine de L'AUBESPINE †
— « Berger tant rempli de finesse... »
1599 Marc de PAPILLON DE LASPHRISE †
— « Çà, je veux fourniller en ton joli fourneau... »
François SCALION DE VIRBLUNEAU
— « Adriane, mon coeur, baise-moi, je te prie... »
— « Étant au lit couché, au lieu de reposer... »
— « De ta lèvre mignarde un fin sucre courant... »
1600 Jacques Davy DU PERRON
— « Au bord tristement doux des eaux... »
Nicolas LE DIGNE
— « Sous le calme repos d'un tranquille silence... »
Abraham de VERMEIL
— « Je chante et pleure, et veux faire et défaire... »
— Sonnet à Seine et à ses rivages
— « Je m'embarque joyeux et ma voile pompeuse... »
(ANONYME)
— « Le pauvre laboureur... »
*
1601 André Mage de FIEFMELIN
— « Ce Monde, comme on dit, est une cage à fous... »
— « Mal n'atteint nul animal... »
1605 Gilles DURANT DE LA BERGERIE †
— « Un soir, le long de l'eau, elle marchait pensive... »
— « Je cheminai longtemps qu'il faisait nuit encore... »
1609 Jean de LINGENDES
— Alcidon parle
1610 Pierre MATTHIEU
— Quatrains
1611 Étienne DURAND
— « Pourquoi pour mon malheur eus-je l'oeil si léger ?... »
— « Je voudrais bien être vent quelquefois... »
1613 Jean de LA CEPPÈDE
— « Il s'en allait prier quand la Parque complice... »
— « Cette rouge sueur goutte à goutte roulante... »
— « Des peureux oiselets la troupe gazouillarde... »
— « Voici l'homme, ô mes yeux, quel objet déplorable... »
— « À ce nouvel assaut de l'extrême douleur... »
— « Le torrent orageux entraîne renversées... »
1621 Théophile de VIAU
— « Le plus aimable jour qu'ait jamais eu le monde... »
— « D'un sommeil plus tranquille à mes Amours rêvant... »
1623 Théophile de VIAU
— « Je songeais que Phyllis des enfers revenue... »
1628 Pierre de MARBEUF
— L'Innocence d'amour
1629 Marc-Antoine de SAINT-AMANT
— « Entrer dans le bordel... »
1630 Théodore Agrippa d'AUBIGNÉ †
— « Combattu des vents et des flots... »
— « Veux-tu savoir qui peut faire la vie heureuse... »
Marc-Antoine de SAINT-AMANT
— Le Paresseux
*
1632 Marc-Antoine de SAINT-AMANT
— Sonnet sur des mots qui n'ont point de rime
*
1633 François TRISTAN L'HERMITE
— Pour une excellente beauté qui se mirait
— Jalousie
1634 Isaac de BENSERADE
— « Madame, je vous donne... »
1639 Vincent VOITURE
— « Les demoiselles de ce temps... »
— « Ma foi, c'est fait... »
1642 Marc-Antoine de SAINT-AMANT
— La Débauche
1644 Vincent VOITURE
— Stances : « Je pensais... »
*
1646 Jean Ogier de GOMBAUD
— « Allons parmi les fleurs... »
— « Durant la belle nuit... »
— « Cette source de mort... »
1647 Claude MALLEVILLE †
— « Au mois de mai... »
1648 Vincent VOITURE †
— Épitaphe : « Ci gît un petit garçonnet... »
1649 Georges de SCUDÉRY
— La Nymphe endormie
1650 Charles de VION DALIBRAY †
— « Songe, songe Mortel, que tu n'es rien que cendre... »
1654 Paul SCARRON
— « Vous faites voir des os... »
*
1656 Jean Regnault de SEGRAIS
— Chanson : « Depuis qu'à Philiste... »
1666 Mathieu de MONTREUIL
— Stances : « Nous aurons trop de temps pour amasser des fleurs... »
— Madrigal : « La justesse de votre danse... »
— Remontrance
— Stances : « C'est un Amant, ouvrez la porte... »
— Madrigal : « Enfin adorable Sylvie... »
— « Chez vous je n'ai jamais été... »
1668 Jean de LA FONTAINE
— Le Lion amoureux
— Le Chien qui lâche sa proie pour l'ombre
1670 Jean DEHÉNAULT
— La Mère à l'avorton
1677 Laurent DRELINCOURT
— Sur les Vents
— Sur les Pierres précieuses
— Sur la résurrection - Espérance du mourant
1688 Antoinette DESHOULIÈRES
— « Entre deux draps... »
1690 Bernard de LA MONNOYE
— État de la vie de l'auteur en MDCXC
*
1700 (ANONYME)
— Aux marches du palais
*
1739 Paul DESFORGES-MAILLARD
— D'une fille qui mourut de regret de la mort d'un petit épagneul
1750 (ANONYME)
— « Je suis l'amant malheureux en ce monde... »
*
1759 Paul DESFORGES-MAILLARD
— Épitaphe d'une dame de la cour
1775 Pierre-Joseph BERNARD †
— « Quel est, ô dieux ! le pouvoir d'une amante !... »
1776 Gabriel-Charles de LATTAIGNANT
— Adieux au monde
*
1778 Évariste PARNY
— Billet
1780 Antoine de BERTIN
— La Veillée
1784 Évariste PARNY
— Élégie : « Que le bonheur arrive lentement... »
— Dialogue
— Sur la mort d'une jeune fille
1785 Nicolas-Germain LÉONARD
— Les Regrets
1787 Évariste PARNY
— Chanson II : « Belle Nélahé... »
1792 Victoire BABOIS
— Cinquième élégie
*
1793 Nicolas BONNEVILLE
— Le Corps et la Pensée
1794 André CHÉNIER †
— Les Colombes
1813 Adélaïde DUFRÉNOY
— Le Besoin d'aimer
1819 Alphonse de LAMARTINE
— L'Isolement
1820 Alfred de VIGNY
— La Neige
*
1826 Alphonse de LAMARTINE
— Pensée des morts
*
1828 Aloysius BERTRAND
— Jean des Tilles
1829 Alfred de MUSSET
— L'Andalouse
— Sonnet : « Que j'aime le premier frisson d'hiver... »
Charles SAINTE-BEUVE
— « Je ne suis pas de ceux pour qui les causeries... »
— « L'autre nuit, je veillais dans mon lit sans lumière... »
*
— En face de la pièce d'eau
Alfred de VIGNY
— À Marie Dorval
*
1830 Marceline DESBORDES-VALMORE
— L'Amour
— L'Étrangère
Alphonse de LAMARTINE
— Pourquoi mon âme est-elle triste ?
Alfred de VIGNY
— Les Amants de Montmorency
*
1831 Gérard de NERVAL
— Politique
1832 Petrus BOREL
— Isolement
— Heur et Malheur
Gérard de NERVAL
— Fantaisie
1833 Auguste BARBIER
— « Il est triste de voir partout l'oeuvre du mal... »
— Michel-Ange
Aloysius BERTRAND
— Les Cinq Doigts de la main
1835 Alfred de MUSSET
— La Nuit de Décembre
— Chanson de Barberine
Gérard de NERVAL
— Dans les bois
1836 Alphonse de LAMARTINE
— « Enfant, j'ai quelquefois passé des jours entiers... »
1837 Alfred de MUSSET
— À Ninon
1840 Xavier FORNERET
— Un rêve
Victor HUGO
— Écrit sur le tombeau d'un petit enfant au bord de la mer
Alfred de MUSSET
— Au lecteur des deux volumes de vers de l'auteur
*
1841 Théodore de BANVILLE
— « Bien souvent je revois... »
*
Aloysius BERTRAND †
— Madame de Montbazon
— Le Cheval mort
Marceline DESBORDES-VALMORE
— Ma chambre
Victor HUGO
— Intérieur
*
1842 Jules LEFÈVRE-DEUMIER
— La Colombe poignardée
Alfred de MUSSET
— Rondeau : « Fut-il jamais... »
*
— À Madame G. : « C'est mon avis... »
*
— À Madame G. : « Dans dix ans... »
*
1843 Charles BAUDELAIRE
— « La servante au grand coeur... »
*
— Le Vin de l'Assassin
*
Alfred de MUSSET
— À M. V.H.
*
— Sonnet à Mme M. N.
*
Gérard de NERVAL
— Delfica
*
1844 Gérard de NERVAL
— Le Christ aux oliviers
1846 Victor HUGO
— À Villequier
*
1847 Victor HUGO
— « Demain, dès l'aube... »
*
1849 Gérard de NERVAL
— Chanson gothique
1851 Marceline DESBORDES-VALMORE
— Le Nid solitaire
Joseph MÉRY
— Le Ballet des heures
Alfred de MUSSET
— Sonnet : « Se voir... »
1852 Théophile GAUTIER
— Préface
1853 Victor HUGO
— Ultima verba
Gérard de NERVAL
— El Desdichado
1854 Jules LEFÈVRE-DEUMIER
— Le Navire gelé
Gérard de NERVAL
— Myrtho
— Artémis
1855 Théodore de BANVILLE
— À Adolphe Gaïffe
*
Charles BAUDELAIRE
— Remords posthume
— L'Invitation au Voyage
Victor HUGO
— En marchant la nuit dans un bois
*
1857 Charles BAUDELAIRE
— Le Serpent qui danse
— « Je te donne ces vers... »
— Causerie
— Spleen : « J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans... »
— Spleen : « Je suis comme le roi d'un pays pluvieux... »
— La Mort des Amants
Théophile GAUTIER
— L'Art
Victor HUGO
— Après justice faite
*
1858 Victor HUGO
— Le Crapaud
*
1859 Charles BAUDELAIRE
— Chant d'Automne
— Le Voyage
Marceline DESBORDES-VALMORE †
— Trop tard
Victor HUGO
— Booz endormi
— « Quand les guignes furent mangées... »
*
— Choses du Soir
*
1860 Albert GLATIGNY
— Pantoum
1861 Charles BAUDELAIRE
— Recueillement
Théophile GAUTIER
— Carmen
1863 Charles BAUDELAIRE
— L'Examen de Minuit
1864 Charles BAUDELAIRE
— Bien loin d'ici
— Un cheval de race
Albert GLATIGNY
— À Miss Mary
1865 Victor HUGO
— Chelles
Armand SULLY PRUDHOMME
— Le Vase brisé
Paul VERLAINE
— Nevermore
1866 Stéphane MALLARMÉ
— Brise marine
Paul VERLAINE
— Voeu
— Mon rêve familier
— L'Angoisse
— Grotesques
— Soleils couchants
— Chanson d'automne
Auguste de VILLIERS DE L'ISLE-ADAM
— Au bord de la mer
1867 Stéphane MALLARMÉ
— Frisson d'hiver
1868 François COPPÉE
— « À Paris, en été... »
— « Je suis un pâle enfant du vieux Paris... »
Isidore Ducasse, comte de LAUTRÉAMONT
— Chant premier, 5 : « J'ai vu, pendant toute ma vie... »
*
— Chant premier, 7 : « J'ai fait un pacte avec la prostitution... »
*
Louisa SIEFERT
— Amour
— Crépuscule
Paul VERLAINE
— Les Ingénus
*
— Colloque sentimental
*
1869 José María de HEREDIA
— Les Conquérants
Isidore Ducasse, comte de LAUTRÉAMONT
— Chant IV, 4 : « Je suis sale... »
Stéphane MALLARMÉ
— Hérodiade
Paul VERLAINE
— Les Indolents
— Sur le Calvaire
*
1870 Albert GLATIGNY
— Valets
Arthur RIMBAUD
— Ophélie
*
— Bal des pendus
*
— Le Dormeur du val
*
— Au Cabaret-Vert
*
Paul VERLAINE
— « La lune blanche... »
1871 François COPPÉE
— « Un rêve de bonheur... »
— « De la rue on entend... »
— « Je rêve, tant Paris... »
Arthur RIMBAUD
— Voyelles
*
1872 Théophile GAUTIER †
— La Mansarde
— La Bonne Soirée
Victor HUGO
— 1er Janvier
Germain NOUVEAU
— Sonnet d'été
Arthur RIMBAUD
— « Qu'est-ce pour nous, mon coeur... »
*
— Comédie de la soif
*
— Honte
*
Paul VERLAINE
— « Il pleure dans mon coeur... »
*
— « Ô triste, triste était mon âme... »
*
— « Dans l'interminable... »
*
— Walcourt
*
1873 Tristan CORBIÈRE
— Ça ?
— Bonsoir
— Paria
— Le Mousse
— Petit mort pour rire
Charles CROS
— Plainte
— Mémento
— Délabrement
— Vocation
Arthur RIMBAUD
— Faim
— Enfance
*
— Dévotion
*
Paul VERLAINE
— « L'espoir luit comme... »
*
— « Le ciel est, par-dessus... »
*
— « Je ne sais pourquoi... »
*
— Kaléidoscope
*
— Sonnet boiteux
*
— Impression fausse
*
1874 Paul VERLAINE
— Le Poète et la Muse
*
1875 Tristan CORBIÈRE †
— Sous un portrait de Corbière...
Armand SULLY PRUDHOMME
— Voeu
Paul VERLAINE
— « Beauté des femmes... »
*
1876 Germain NOUVEAU
— « Cheminant Rue aux Ours... »
Jean RICHEPIN
— Oiseaux de passage
— Ballade du rôdeur des champs
— Sonnet morne
1877 Eudore ÉVANTUREL
— « Les chevaux au grand trot... »
Victor HUGO
— « Jeanne était au pain sec... »
Germain NOUVEAU
— « Que triste tombe un soir de novembre... »
*
Maurice ROLLINAT
— La Vache
1878 Eudore ÉVANTUREL
— Souvenir
1880 Germain NOUVEAU
— Les Mains
*
1881 Jules LAFORGUE
— Dans la rue
*
— Incurablement
*
— Pâle soleil d'hiver
*
— Veillée d'hiver
*
— « Pauvre petit coeur sur la main... »
*
1883 Maurice ROLLINAT
— La Petite Souris
— Villanelle du ver de terre
— La Pluie
— La Folie
— Rondeau du guillotiné
Paul VERLAINE
— Langueur
1884 Émile GOUDEAU
— Aller et retour
Germain NOUVEAU
— Musulmanes
*
1885 Victor HUGO †
— « Passereaux et rouges-gorges... »
Jules LAFORGUE
— Complainte du fœtus de poète
— Complainte de l'oubli des morts
— Complainte sur certains ennuis
Stéphane MALLARMÉ
— « Le vierge, le vivace... »
1886 Charles CROS
— Déserteuses
— Phantasma
— En cour d'assises
— Liberté
— Sonnet : « Je sais faire des vers... »
— Insoumission
— Sonnet : « Moi, je vis la vie à côté... »
Stéphane MALLARMÉ
— L'Ecclésiastique
Germain NOUVEAU
— Idiot
Raoul PONCHON
— La Cage
Georges RODENBACH
— Dimanches
Maurice ROLLINAT
— L'Imperdable
1887 José María de HEREDIA
— Le Huchier de Nazareth
Jules LAFORGUE †
— Dimanches : « Oh ! ce piano... »
— Avant-dernier mot
— Dimanches : « Le ciel pleut sans but... »
— Albums
Stéphane MALLARMÉ
— « Ô si chère de loin... »
— « Ses purs ongles... »
1888 Charles CROS †
— Sonnet : « Vent d'été... »
— « Je suis un homme mort... »
— Banalité
— « Un immense désespoir... »
Maurice MAETERLINCK
— Hôpital
*
Émile VERHAEREN
— Les Malades
— Londres
Paul VERLAINE
— « Âme, te souvient-il, au fond du paradis... »
1889 Georges FOUREST
— Pseudo-sonnet plus spécialement truculent et allégorique
Paul-Jean TOULET
— Souffrance
— « J'ai trouvé mon Béarn le même... »
*
1890 Marie KRYSINSKA
— Nature morte
Émile TARDIEU
— J'ai trop pensé
1891 Eudore ÉVANTUREL
— Nostalgie
André GIDE
— « Une lampe neuve remplace la vide... »
Raoul PONCHON
— Où sont-ils
1892 Max ELSKAMP
— « J'ai triste d'une ville en bois... »
Georges FOUREST
— Sardines à l'huile
— Épître falote et testamentaire...
Stéphane MALLARMÉ
— Feuillet d'album
1893 Henry BATAILLE
— Confidence : « Je t'ai rêvée en la naïveté... »
*
Francis JAMMES
— Le pauvre pion
— La jeune fille...
— Il va neiger...
Stéphane MALLARMÉ
— Remémoration d'amis belges
SAINT-POL-ROUX
— La Religion du tournesol
1894 FRANC-NOHAIN
— Cantilène des trains qu'on manque
Francis JAMMES
— J'aime l'âne...
Alfred JARRY
— Végétal
1895 Max ELSKAMP
— « Un pauvre homme est entré chez moi... »
Ernest d'HERVILLY
— Zèbre
Francis JAMMES
— Quand verrai-je les îles...
*
Pierre LOUŸS
— La Pluie
— Tombeau d'une jeune courtisane
Stéphane MALLARMÉ
— « Toute l'âme résumée... »
1896 Paul CLAUDEL
— Le Porc
*
1897 Paul FORT
— L'Amour marin
Alfred JARRY
— « Je ne sais pas... »
Stéphane MALLARMÉ
— Tombeau
Jehan RICTUS
— Déception
— Farandole des pauv's 'tits fan-fans morts
SAINT-POL-ROUX
— Populaire et symbolique histoire de la Vache enragée
*
1898 Max ELSKAMP
— Et c'est Lui, comme un matelot
— Et connais-tu Marco la belle ?
FRANC-NOHAIN
— Sonnet de l'inutile impertinence
Georges RODENBACH †
— « C'est là qu'il faut aller quand on se sent dépris... »
SAINT-POL-ROUX
— Roscanvel
*
Paul-Jean TOULET
— « Mon âme paisible était pareille autrefois... »
1899 Émile NELLIGAN
— Ruines
*
— Les Angéliques
*
— Le Jardin d'antan
*
— Mon âme
*
Jehan RICTUS
— Crève-Coeur
Francis VIELÉ-GRIFFIN
— « J'ai couru d'abord ; j'étais jeune... »
1900 Francis JAMMES
— Regarde la bonne chienne
*
Henri de RÉGNIER
— Le Maraudeur
Albert SAMAIN †
— « Mon enfance captive a vécu dans des pierres... »
1901 Jean-Marie DÉGUIGNET
— « C'est à vous, mes écrits, qu'aujourd'hui je m'adresse... »
Jean DOMINIQUE
— Le Pauvre Blaise
Henry LEVEY
— Afrique Occidentale
Jean MORÉAS
— « Quand reviendra l'automne... »
1902 Guillaume APOLLINAIRE
— La Synagogue
*
Jean DOMINIQUE
— Chanson : « Le bateau sentait le thé... »
*
Henry LEVEY
— République Argentine - La Plata
— Égypte - Port-Saïd - En Rade
— Côte d'Azur - Nice
Émile VERHAEREN
— Un matin
1903 Paul CLAUDEL
— Le Riz
*
Paul-Louis COUCHOUD
— Haï-kaïs
*
Alfred JARRY
— Le Bain du roi
Jehan RICTUS
— Nocturne
Renée VIVIEN
— Les Solitaires
1904 Charles VAN LERBERGHE
— « Ma soeur la Pluie... »
Renée VIVIEN
— Les Mangeurs d'herbe
— Pour Une
1905 Gaston COUTÉ
— Le Gâs qu'a mal tourné
*
— Idylle des grands gâs comme il faut et des jeunesses convenables
*
— L'École
*
— Nos vingt ans
*
Lucie DELARUE-MARDRUS
— Refus
1906 Oscar V. de L. MILOSZ
— Tous les Morts sont ivres...
— Grincement doux...
— Et surtout que...
Renée VIVIEN
— Le Pilori
1907 Jean COCTEAU
— Conte simple
*
Alfred JARRY †
— Le Homard et la boîte de corned-beef que portait le docteur Faustroll en sautoir
Anna de NOAILLES
— Offrande
1908 Valery LARBAUD
— Scheveningue morte saison
— Carpe diem...
— Images
Paul-Jean TOULET
— « Toute allégresse a son défaut... »
1909 Georges FOUREST
— Le Cid
1910 Paul-Jean TOULET
— « Vous qui retournez du Cathai... »
— « Douce plage où naquit mon âme... »
1911 Guillaume APOLLINAIRE
— Le Bestiaire (Extraits)
— À la Santé
*
François MAURIAC
— C'est l'époque...
Germain NOUVEAU
— « Sans amis, sans parents, sans emploi, sans fortune... »
*
Paul-Jean TOULET
— « Dans le lit vaste et dévasté... »
— « La vie est plus vaine une image... »
— Coples (choix I)
1912 Alphonse BEAUREGARD
— Marine
Francis CARCO
— Complainte
Marie NOËL
— Vision
Jean PELLERIN
— « Nous n'entendrons plus ta chanson... »
Victor SEGALEN
— Départ
— Éloge du jade
— Stèle des pleurs
— Éloge et pouvoir de l'absence
— Nom caché
Paul-Jean TOULET
— « Dans le silencieux automne... »
1913 Guillaume APOLLINAIRE
— Le Pont Mirabeau
— Annie
— La Porte
— Cors de chasse
Blaise CENDRARS
— Prose du Transsibérien et de la petite Jeanne de France
— Journal
*
Tristan KLINGSOR
— Nocturne familier
Charles PÉGUY
— Présentation de Paris à Notre-Dame
Paul-Jean TOULET
— « L'immortelle et l'oeillet de mer... »
— En Arles
— « Non, ce taxi, quelle charrette... »
— « Puisque tes jours ne t'ont laissé... »
1914 Luc DURTAIN
— Spitzberg
— « Debout à l'avant qui tranche... »
Jean de LA VILLE DE MIRMONT †
— « Par un soir de brouillard, en un faubourg du nord... »
Charles-Ferdinand RAMUZ
— Chanson devant la guérite
Erik SATIE
— La Pêche
Paul-Jean TOULET
— « J'ai vu le Diable... »
— « Vous souvient-il de l'auberge... »
1915 Oscar V. de L. MILOSZ
— Symphonie de novembre
Pierre REVERDY
— La Saveur du réel
Jehan RICTUS
— Les Gonzesses à lorgnons
*
Erik SATIE
— Aubade
1916 Pierre REVERDY
— « En ce temps-là... »
1917 Jean COCTEAU
— Batterie
*
Paul FORT
— Le Vieux Mendiant
Max JACOB
— Silence dans la nature
— Fable sans moralité
— Le Centaure
1918 Guillaume APOLLINAIRE †
— Les Saisons
— La Colombe poignardée et le Jet d'eau
Oscar V. de L. MILOSZ
— Les Terrains vagues
1919 Luc DURTAIN
— Un port
André SPIRE
— Retour
Paul-Jean TOULET
— « C'était sur un chemin crayeux... »
— « En l'an 801 de Rome... »
1920 Anna de NOAILLES
— Deux Êtres luttent...
Marie NOËL
— Ronde : « Mon père me veut marier... »
— Chanson : « Quand il est entré dans mon logis clos... »
Paul-Jean TOULET †
— Coples (choix II)
— « Ce n'est pas drôle de mourir... »
1921 Alphonse BEAUREGARD
— Synthèse
— Impuissance
— Le Val
Max JACOB
— Mille regrets
Tristan KLINGSOR
— Pendant la pluie
— La Fleur sèche
1922 Jean COCTEAU
— Gabriel au village
Tristan DERÈME
— « Puisque je suis assis sous ce pin vert et sombre... »
— « Chambre d'hôtel morose et vide. Un oeillet penche... »
Paul VALÉRY
— Le Vin perdu
— Intérieur
— Palme
1924 Pierre ALBERT-BIROT
— Chronique : chez Paul Guillaume
Max ELSKAMP
— Désir
Pierre MAC ORLAN
— « Comme j'étais mal... »
Marcel THIRY
— « Toi qui pâlis au nom de Vancouver... »
— « Pour être encor sur ce transport... »
1925 Max ELSKAMP
— Huit chansons reverdies dont quatre pleurent et quatre rient
Pierre LOUŸS †
— Gibier divin
Marcel THIRY
— « Avoir connu San Francisco »
1926 Pierre MAC ORLAN
— « Un rat est venu dans ma chambre... »
Rainer Maria RILKE †
— « Rose, toute ardente et pourtant claire... »
1927 Paul CLAUDEL
— « Entre ce qui commence... »
Robert DESNOS
— Avec le coeur du chêne
*
Paul MORAND
— Southern Pacific
Pierre REVERDY
— Un homme fini
1928 Benjamin PÉRET
— S'essouffler
— Les Jeunes Filles torturées
— Sombres vaches
1929 Paul ÉLUARD
— « Je te l'ai dit... »
Henri MICHAUX
— Je suis né troué
Géo NORGE
— « À la lisière du néant... »
1930 Robert DESNOS
— Sur la route
*
— Dans un petit bateau
*
Léon-Paul FARGUE
— Trouvé dans des papiers de famille
Max JACOB
— Le Phare d'Eckmühl
— Le Déserteur déguisé
1931 Pierre de MASSOT
— Le Déserteur
*
1932 Henri MICHAUX
— Ma vie
*
1933 Jean COCTEAU
— « Un menteur ne sait plus ce qu'il a dit la veille... »
*
Robert DESNOS
— Ô jeunesse
*
Jean FOLLAIN
— L'uniforme blanc
*
1934 Louis ARAGON
— 1932
Jean COCTEAU
— « Tu ne laisserais pas faire le moindre mal... »
*
Robert DESNOS
— Les quatre sans cou
Jules SUPERVIELLE
— Les Chevaux du Temps
1935 Francis PONGE
— Le Cageot
1936 Francis CARCO
— Il pleut
Robert DESNOS
— Les Hommes sur la terre
Francis PONGE
— Les Mûres
Jacques PRÉVERT
— L'Enfance
*
Jean-Joseph RABEARIVELO
— « Ce qui se passe sous la terre... »
— « Que de fois relayés... »
1937 Léon-Gontran DAMAS
— Il est des nuits
— Pareille à ma légende
— Regard
Paul ÉLUARD
— Quelques-uns des mots qui, jusqu'ici, m'étaient mystérieusement interdits
1941 Jean FOLLAIN
— Quincaillerie
*
1942 Jean FOLLAIN
— « Cultivateurs et petits fonctionnaires des campagnes... »
— « Les grandes architectures de la nuit tombante... »
Jean GENET
— « Sur mon cou sans armure et sans haine, mon cou... »
Armand ROBIN
— « Toute douceur de langage... »
— Le Communiste
— « Par la très pure lune aux nues mêlée... »
— « Je vous parle d'un buisson très éloigné... »
— « Ô miens si obscurs... »
— « Les fontaines, les plantes, les incertaines lunes... »
1943 Jean FOLLAIN
— Signes pour les voyageurs
1944 Edmond-Henri CRISINEL
— « À la fenêtre, je sais qu'il y a des roses... »
Robert DESNOS
— Le Réveil
— L'Épitaphe
1945 Jacques PRÉVERT
— Le concert n'a pas été réussi
Raymond QUENEAU
— Grenouilles
*
1946 Antonin ARTAUD
— Les Malades et les médecins
*
René-Guy CADOU
— L'étrange douceur
Raymond QUENEAU
— Complainte
1947 Jean FOLLAIN
— Le pain
— L'Asie
André FRÉDÉRIQUE
— La Légende des siècles
Gilbert LELY
— Avant-dire
Charles TRENET
— Retour à Paris
1948 Gérald NEVEU
— « Je ne meurs pas pour une noble cause... »
1949 Gérald NEVEU
— La Rose des vents
Géo NORGE
— Une chanson
Boris VIAN
— Les Araignées
1951 Bernard DELVAILLE
— Cour Saint-François
Paul ÉLUARD
— Bonne justice
Jacques PRÉVERT
— En été comme en hiver
— Vainement
1952 Jean FOLLAIN
— « Une renoncule âcre... »
Jean SÉNAC
— L'Homme ouvert
*
Armen TARPINIAN
— La Poule
*
1953 Maurice FOMBEURE
— Les écoliers
1954 Lucien BECKER
— « Le soleil avant de se coucher dans les carreaux... »
Jean COCTEAU
— Vieux monde...
*
Géo NORGE
— Zoziaux
— En forêt
Boris VIAN
— Le Politique
*
Louise de VILMORIN
— « J'ai assez aidé et fêté... »
— « Elle sort là-bas des menthes... »
— « Rue... »
1955 Gérard PRÉVOT
— « Je suis un étranger... »
1956 Louis ARAGON
— Les mots m'ont pris par la main
1957 Malcolm de CHAZAL
— (extraits de Sens magique)
1958 Jacques DUPIN
— Le Réel
— Forêt seconde
Philippe JACCOTTET
— Le Locataire
Armand ROBIN
— « Je suis sorti à cinq heures du matin... »
— Blanche Blanchette
*
1959 Gaston MIRON
— La braise et l'humus
1960 Jean-Roger CAUSSIMON
— Comme à Ostende
Gérald NEVEU †
— Raison sociale
1961 Alain BORNE
— « Il y a des poèmes... »
Bernard DIMEY
— Le Bestiaire de Paris (extraits)
*
Marie NOËL
— Retraite
— La Morte et ses mains tristes
1962 Georges BRASSENS
— Les Amours d'Antan
Géo NORGE
— Les Petits Roux
— Elsa la mouche
Georges PERROS
— « Comment sont les autres... »
1963 Jacques DUPIN
— Grand vent
— L'Égyptienne
Maurice ROCHE
— « Tu perdras le sommeil au fur que tu perdras la vue... »
1964 Yves MARTIN
— « Une ville maritime aux trains bleus et blancs... »
*
1965 Rachid BOUDJEDRA
— La Mariée
Jacques BREL
— Ces gens-là
1966 Pierre ALBERT-BIROT
— « Pierre est hache... »
Léon-Gontran DAMAS
— Il n'est point de désespoir
— Nul ne se rappelle avoir vu
Gaston MIRON
— Monologues de l'aliénation délirante
Aldo PALAZZESCHI
— La Tapette
— La Dame du café
Franck VENAILLE
— « Celui-ci sur la plage... »
1967 Bernard DELVAILLE
— « Un jour bien plus tard... »
Claude NOUGARO
— Toulouse
Raymond QUENEAU
— Rue Paul Verlaine
1968 Malcolm de CHAZAL
— Poèmes (choix)
Raymond QUENEAU
— Le Voyageur
1969 Yves MARTIN
— Au Harry's
1970 Jacques BERTIN
— Je voudrais une fête étrange et très calme
Paol KEINEG
— « Je n'irai pas aujourd'hui... »
Jean SÉNAC
— Ordres II
1971 Pierre ANDREU
— Poème pour les noces d'or de Lucien et Joséphine
*
— À l'hôpital
*
René CHAR
— Faction du muet
1973 William CLIFF
— Attendre
— Encore attendre
Raymond QUENEAU
— El Desdonado
Andrée SODENKAMP
— Margareta Matiena de Bohême
1974 Jacques BERTIN
— J'ai peu de choses à dire
Georges L. GODEAU
— Un arbre
— La Meilleure Secrétaire
Gervais JASSAUD
— Ça sentirait bon les rhododendrons et les jeunes filles d'Honfleur
Jean-Pierre VERHEGGEN
— Mélange
1975 Jacques BERTIN
— Paroisse
1976 Malcolm de CHAZAL
— La Bouche ne s'endort jamais (choix)
1978 William CLIFF
— Michael from Seattle
Yves MARTIN
— « Avec l'âge, je deviens méchant... »
— « Je ne sais plus quoi dire... »
Alain SOUCHON
— Lulu
Jean-Pierre VERHEGGEN
— Donne une baise à Monsieur le Poète
1979 Yves MARTIN
— « Tous les jours, à heure fixe... »
1980 Alain BOSQUET
— Le poète comme meuble
Paul de ROUX
— L'Excursion
— Brocante
1982 Bernard DELVAILLE
— Sonnet : « Avec ta cravate achetée dans Burlington Arcade... »
1984 Dick ANNEGARN
— Chanson du vieux chanteur
Paol KEINEG
— Autres bêtises (choix)
Gérard LE GOUIC
— « Nous, les Bretons de l'hiver... »
Paul de ROUX
— Une brique
— De retour
— Dans l'herbe
© ChristianTanguy, 1995-2012