| Né à Bruxelles dans une famille bourgeoise. Il fit des études de droit mais préférait la littérature. Il anima notamment La Jeune Belgique, la revue du symbolisme belge. Son recueil La Nuit (1897) pousse à l’extrême l’esthétique décadente. Certaines pièces en sont encore très appréciées – du moins au second degré. Iwan Gilkin écrivit aussi pour le théâtre. Ce fut l’un des premiers membres de l’Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique. | | |