Contrôleur provincial des guerres au service de Marie de Médicis. Auteur d’un roman et de poésies libertines. Un pamphlet contre Louis XIII lui valut d’être condamné à mourir sur la roue et brûlé avec ses écrits.
Méditations (1611) « Pourquoi pour mon malheur eus-je l'oeil si léger ?... » « Je voudrais bien être vent quelquefois... »
Gisèle Mathieu-Castellani : Anthologie de la poésie amoureuse de l´âge baroque, 1570-1640, Le Livre de Poche, 1990
© ChristianTanguy, 1995-2012