Stéphane Mallarmé
(18 mars 1842 - 9 septembre 1898)

Né dans une famille de fonctionnaires. Ayant perdu sa mère à 7 ans, il fut confié aux soins de ses grand-parents, avant diverses pensions. Sa vie professionnelle fut celle d’un professeur d’anglais, dans plusieurs villes de province, puis à Paris à partir de 1871.  

Pour le reste, sa vie fut toute dévouée à la Poésie. Rêvant d’un « Livre » qui resta lettre morte, il publia peu – pour ce qui est des vers uniquement Les Poésies (1887), Album de vers et prose (1887) et Vers et prose (1893).  

Ignoré du grand public, il fut par contre d’une grande influence sur les plus grands noms de son temps et du début du 20e siècle, lesquels il recevait, notamment à partir de 1880 au cours de ses « mardis » restés célèbres.

Choix

dans le « Parnasse contemporain » (1866)
   Brise marine

Poésies (1887)
   Hérodiade
   « Ô si chère de loin... »
   « Le vierge, le vivace... »
   « Ses purs ongles... »

Pages (1893)
   Frisson d'hiver
   L'Ecclésiastique

Poésies (1899)
   Tombeau
   Feuillet d'album
   Remémoration d'Amis belges
   « Toute l'âme résumée... »

Aller plus loin...


 

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