Max Elskamp
(5 mai 1862 - 10 décembre 1931)

Né et mort à Anvers, de père flamand et de mère wallonne. Famille de la bonne bourgeoisie catholique. Le poète quitta peu sa ville : des études de droit à Bruxelles, un voyage en cargo en 1887 jusqu’en Italie, et pendant la guerre de 1914 un « exil » en Hollande.  

Il publia sa poésie pendant deux périodes de sa vie, de 1892 à 1901 et de 1920 jusqu’à sa mort, confectionnant près d’une vingtaine de plaquettes, toutes confidentielles ou posthumes à l’exception des Louanges de la vie éditée en 1898 par le Mercure de France et réunissant ses premiers recueils. Il se passionna également pour le bouddhisme, le folklore flamand et la gravure.  

À partir de 1925 il s’était enfoncé dans la folie.

Choix

Dominical (1892)
   « J'ai triste d'une ville en bois... »

Six chansons de pauvre homme pour célébrer la semaine en Flandre (1895)
   « Un pauvre homme est entré chez moi... »

Enluminures (1898)
   Et c'est Lui, comme un matelot
   Et connais-tu Marco la belle ?

Aegri somnia (1924)
   Désir

Huit chansons reverdies (1932)
   Huit chansons reverdies dont quatre pleurent et quatre rient

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