Elle se baigne Au marais des iris et des grands lys d’eau Elle se baigne comme un nénufar blanc Comme un nénufar rouge qui saigne Elle est tout en or avec des taches de sang [...]
Elle danse, elle est nue, elle est jeune. Ses flancs Ondulent avec un déhanchement farouche ; Mais le sourire fait une fleur de sa bouche Sous le regard languide entre les cils tremblants.
Bien qu’elle ait une peau très brune, et que son cul Soit énorme, et que sa lourde mamelle tombe, Elle épate en blason déchiré sur l’écu Un grand con d’or triangulaire qui surplombe.