Puisque je suis ton enfant tout débile, et que Tu berces dans tes bras consolateurs ma peine Tu seras si bonne que me sourire, et que Guider ma faible bouche à ta poitrine pleine.
Mes lèvres où frissonne un vagissement froid [...]
Quand j’énerve mes doigts dans vos épaisseurs claires Grands poils blonds, agités d’un frisson lumineux, Je crois vivre géante, aux âges fabuleux Et broyer sous mes mains les forêts quaternaires. [...]
Près des rives d’iris et des bouleaux des berges, Alternant ses pieds froids au courant des ruisseaux, Il passe vêtu d’ombre et de jour sur les eaux ; Et le long de son corps déclinent ses mains vierges ; [...]