Ô Sainte aimée, ô ma patronne, ô ma maîtresse, Étoile de la mer, Étoile du matin, Sois adorée encore, ainsi qu’au jour lointain Où ta Vulve reçut ma première caresse.
En te voyant si blanche un soir que tu dormais [...]
J’aime la bonté, l’amour et les chants, Les yeux et les mers et les émeraudes, Le sang de la rose et le vert des champs, Les diamants froids et les perles chaudes.
Mon long priape qui pantelait contre moi S’érupe et bat, fouetté de sang par une envie Furieuse de chair humide... Ah ! couche-toi ! Mais clos ton sexe comme une bouche assouvie. [...]
Ô Déesse en nos bras si tendre et si petite, Déesse au cœur de chair, plus faible encor que nous, Aphrodite par qui toute Ève est Aphrodite Et se fait adorer d’un homme à ses genoux,