Pierre Louÿs(1870-1925) Recueils (ou ensembles) complets1895 : Les Chansons de Bilitis 1905 : Pybrac (±, publication posthume) Tous ses poèmes disponiblesPoèmes par ordre alphabétiqueA B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V
L’Absence Les Amies à dîner L’Amour L’Ange L’Arbre Au pas blanc de leurs haquenées... Aussi blonde que je suis brune...
Le Bain Le Baiser Les Bijoux
Chanson : La nuit est si profonde... Chanson : Le premier me donna un collier... Chanson : Quand il est revenu... Chanson : Torti-tortue, que fais-tu là au milieu ?... Les Chatouilles La Chevelure Le Clitoris Le Cœur La Colombe La Commande Les Comparaisons Les Confidences Les Conseils Les Contes La Coupe
La Danse de Glôttis et de Kysé Dans la forêt où j’ai coutume... Le Désir La Dispute La Domesticité La Dormeuse La Duperie
L’Effort L’Étranger
Les Fards Les Fleurs La Flûte de Pan
L’Hymen
L’Inconnu
Je ne suis qu’un enfant, Madame, et je sais bien... La Jeune Mère Je voudrais cette nuit trouver un crocodile... La Jongleuse J’ai douze ans, du noir aux yeux... J’aurais voulu t’avoir quand tu n’étais pas femme...
La fille blonde que j’avais vue... Le Lait Le premier me donna un collier... Les glaives de tes panoplies... Les yeux qui voient la mer et les champs et les eaux... Les yeux sont moins purs que les seins... Le Lever
La Masturbation entre les seins Les Ménades La Métamorphose Les Mystères
Les Noces La Nuit Les Nymphes
L’Objet L’Orchidée
Parce que strictement de par le double fer... Les Parfums Le Passant : Près des rives d’iris... Le Passant La Petite Aphroditê de terre cuite Les Petits Enfants Les Pieds nus La Pluie Plus sérieux peut-être qu’on ne pense Les Poils : Quand j’énerve mes doigts... Les Poils : Un rayon du soleil levant... La Poupée La Prairie Puisque tes yeux veulent mourir... La Purification
La Quenouille
Les Remords La Rencontre Le Réveil
Le Serment Si vous n’avez pas peur d’aimer... Les Soins jaloux La Solitude Sonnet : Parce que strictement de par le double fer... Svbsciptvm tvmvmo ioannis secvndi Le Symbole
Ta fleur secrète et reculée... La Tentative Le Tombeau d’une jeune courtisane Torti-tortue, que fais-tu là au milieu ?... Les Trois Beautés de Mnasidika
Un rêve m’a hanté dans mes heures de veille...
La Vermine Viens, blanche sur le divan rouge, viens baiser... La Violence
Les Yeux |
Mnasidika m’ayant prise par la main me mena hors des portes de la ville, jusqu’à un petit champ inculte où il y avait une stèle de marbre. Et elle me dit : « Celle-ci fut l’amie de ma mère. »
Alors je sentis un grand frisson, et sans cesser de lui tenir la main, je me penchai sur son épaule, afin de lire les quatre vers entre la coupe creuse et le serpent : [...]
Je m’éveille... Est-il donc parti ? Il a laissé quelque chose ? Non : deux amphores vides et des fleurs souillées. Tout le tapis est rouge de vin.
J’ai dormi, mais je suis encore ivre... Avec qui donc suis-je rentrée ?... Pourtant nous nous sommes couchés. Le lit est même trempé de sueur.
Peut-être étaient-ils plusieurs ; le lit est si bouleversé. Je ne sais plus... Mais on les a vus ! Voilà ma Phrygienne. Elle dort encore en travers de la porte. [...]
Chairs en fleurs, ô mes seins ! que vous êtes riches de volupté ! Mes seins dans mes mains, que vous avez de mollesses et de moelleuses chaleurs et de jeunes parfums !
Jadis, vous étiez glacés comme une poitrine de statue et durs comme d’insensibles marbres. Depuis que vous fléchissez je vous chéris davantage, vous qui fûtes aimés. [...]
« Tu crois que tu ne m’aimes plus, Téléas, et depuis un mois tu passes tes nuits à table, comme si les fruits, les vins, les miels pouvaient te faire oublier ma bouche. Tu crois que tu ne m’aimes plus, pauvre fou ! »
Disant cela, j’ai dénoué ma ceinture en moiteur et je l’ai roulée autour de sa tête. Elle était toute chaude encore de la chaleur de mon ventre ; le parfum de ma peau sortait de ses mailles fines. [...] |
Mon florilège(Tоuriste) (Les textes et les auteurs que vous aurez notés apparaîtront dans cette zone.) Compte lecteurAgoraÉvаluations récеntes☆ ☆ ☆ ☆ ☆Jаmmеs : Ρrièrе pоur аimеr lа dоulеur Соppéе : «С’еst vrаi, ј’аimе Ρаris d’unе аmitié mаlsаinе...» Μаllеvillе : «Lе silеnсе régnаit sur lа tеrrе еt sur l’оndе...» Dubоs : À Frоntоn : «Τоi qui, саpitаinе, оrаtеur...» Lаmаrtinе : L’Αutоmnе Βаudеlаirе : Μаdеmоisеllе Βistоuri Ρаrnу : «D’un lоng sоmmеil, ј’аi gоûté lа dоuсеur...» Εlskаmp : Désir Jаmmеs : Lеs Νègrеs ☆ ☆ ☆ ☆Ρеllissоn-Fоntаniеr : «L’ехеmplе dе Gоdеаu...» Αpоllinаirе : Lе Suiсidé Νоuvеаu : Hуmnе Αpоllinаirе : «Lе сhеmin qui mènе аuх étоilеs...» Соrbièrе : Lе Ρоètе еt lа Сigаlе Vоltаirе : «Si vоus vоulеz quе ј’аimе еnсоrе...» Du Βеllау : «Τhiаrd, qui аs сhаngé еn plus grаvе éсriturе...» Εlskаmp : «À présеnt с’еst lа nuit qui tоmbе...» Rоllinаt : Lа Сhèvrе Νоаillеs : «Dе quоi t’аi-је, еn се јоur, frustré, сœur еndоrmi ?...» Cоmmеntaires récеntsDe Сосhоnfuсius sur Sоnnеt d’Αrt Vеrt (Gоudеzki) De Jаdis sur À l’еnvеrs (Sеgаlеn) De Сосhоnfuсius sur «Lеs еsсаdrоns аilés du сélеstе pоurpris...» (Lа Сеppèdе) De Сосhоnfuсius sur «С’étаit un јоur d’été...» (Dеspоrtеs) De Xi’аn sur Μirlitоn (Соrbièrе) De Jаdis sur Lа Сhèvrе (Rоllinаt) De Xi’аn sur «Αimеz-vоus l’оdеur viеillе...» (Μilоsz) De Dаmе dе flаmmе sur Vеrlаinе De Сurаrе- sur Sur l’Hélènе dе Gustаvе Μоrеаu (Lаfоrguе) De Dаmе dе flаmmе sur Οisеаuх dе pаssаgе (Riсhеpin) De Сurаrе- sur «Ιl n’еst riеn dе si bеаu соmmе Саlistе еst bеllе...» (Μаlhеrbе) De Xi’аn sur Lе Gigоt (Ρоnсhоn) De Jаdis sur «Lе Sоlеil l’аutrе јоur sе mit еntrе nоus dеuх...» (Rоnsаrd) De Dаmе dе flаmmе sur À sоn lесtеur : «Lе vоilà сеt аutеur qui sаit pinсеr еt rirе...» (Dubоs) De Yеаts sur Ρаul-Jеаn Τоulеt De Ιо Kаnааn sur «Μаîtrеssе, quаnd је pеnsе аuх trаvеrsеs d’Αmоur...» (Rоnsаrd) De Rоzès sur Μédесins (Siсаud) De Dаmе dе flаmmе sur «Hélаs ! vоiсi lе јоur quе mоn mаîtrе оn еntеrrе...» (Rоnsаrd) De Rоzès sur Lе Сhеmin dе sаblе (Siсаud) De Sеzоr sur «Jе vоudrаis biеn êtrе vеnt quеlquеfоis...» (Durаnt dе lа Βеrgеriе) De KUΝG Lоuisе sur Villе dе Frаnсе (Régniеr) Plus de commentaires...Ce sitePrésеntаtionCоntactSоutien |